Il existe en effet depuis cette période au sein de la fonction publique des instances mixtes aux pouvoirs renforcés pour par exemple prescrire des enquêtes extérieures, des audits afin d’analyser avec soin et impartialité vos conditions de travail. Bref on m’a posé une question à laquelle je peux répondre alors je réponds. Cdt. J’ai également suivi une thérapie toute l’année 2017-2018 et ma thérapeute m’a demandé à la dernière séance de passer mon chemin car dans la vie il y a des choses beaucoup plus graves… (heureusement le RV de carrière était passé par là). Relier le mouvement antipsychiatrique/fou au mouvement pro neurodiversité : Quels sont les points de débats qui l’empêchent pour le moment? Comme ça il lui sert d’interface de communication avec les autres. Cette situation peut-elle être considérée comme du harcèlement. Ensuite mon généraliste m’a mise sous Propanolol pour mon trouble anxieux généralisé et mon « trouble panique » ce qui n’a fait aucune différence ni pour l’un ni pour l’autre. (Je trouve les exemples très caricaturaux même si l’idée de base est bonne par exemple je suis une autiste dont les habiletés ne sont pas du tout de ce domaine et je suis en cela fort loin d’être la seule sur le spectre autistique). De la maltraitance d’enfant au nom de la « thérapie » normalisatrice ce n’était rien d’autre pour moi qu’un long tunnel rempli que de ça. Mais cette situation m’a beaucoup marquée et je n’arrive pas à en sortir. « Ma neurodiversité fait que j’ai plus de mal que les autres à m’en sortir à l’école ». Par exemple si un schizophrène déménage en Inde pour y être considéré en tant qu’une personne sacrée cela n’empêchera pas que bien d’autres n’auront pas cette possibilité et resteront coincés dans la société française qui perçoit leur état comme une grave pathologie à éliminer quitte à tuer au besoin les gens qui l’ont si on ne parvient pas à les normaliser. Nous vous invitons à consulter la vidéo de Me Simplot sur ce sujet sur le site Juriécole : https://juriecole.fr/video/le-harcelement-moral/. – Quand les proviseurs successifs refusent de m’écouter et ce, malgré l’avis très positif à mon égard du rectorat. Dans d’autres temps et lieux il y a d’autres façons de voir le handicap et la validité, ce qui vient de ce que les diagnostics dépendent des valeurs morales culturelles. Dans votre situation il convient d’être aidé par L’Autonome et son avocat qui vous préciseront les démarches les plus efficaces. Concernant l’anxiété je n’ai pas seulement l’air stressée de façon chronique je le suis mais à un niveau qui est normal pour quelqu’un de neuroatypique qui vit dans un monde pas conçu pour elle mais pour les neurotypiques en fait…ceci dit quand on est pas mes parents on ne médique pas de force avec des trucs nocifs le fait d’être une femme dyspraxique chroniquement stressée par le validisme qu’elle subit par rapport à ça et qui se coiffe bien mais ne se maquille pas car elle est féministe et surtout que cela ne l’a jamais intéressé de toute sa vie de se maquiller en fait. Cependant le fait qu’il existe des personnes qui sont une ou plusieurs de ces trois choses tout en étant 100% valides physiquement, psychologiquement et neurologiquement bien que ce soit fort rare et qui n’ont pas particulièrement vécu d’événements chocs ou traumatisant…la logique la plus basique tend alors à montrer que l’explication psychopathologisante de ces expériences est incorrecte. Cela peut faire que vous soyez hypersensible aux stimulations sensorielles et faisiez une crise de surcharge sensorielle en ayant un ressenti de vos perceptions plus intense que vous ne le pouvez supporter ou que vous ayez au contraire une hyposensibilité sensorielle et ayez besoin de pallier à vos manques de ressenti. Cela est typique c’est un gros signe qu’un truc ne va pas dans votre traitement ça en fait. Votre situation est naturellement désagréable mais elle ne peut être assimilée à du harcèlement. Si vous restez sur un médicament plus longtemps qu’il ne vous a été prescrit sans progrès sensible voir avec aggravation de votre état c’est typique il y a forcément un truc qui ne va pas au minimum dans votre traitement mais généralement aussi avec votre diagnostic. On sait bien qu’en certaines circonstances la psychiatrie impose son pouvoir par l’autorité et la force sur nos vies et on conteste très largement ça. Il remet en cause devant mes collègues des informations que je lui ai communiqué en affirmant n’être pas au courant. Celui ci a transformé la société dans les années 1960 en se fusionnant au mouvement anti guerre et dénonçant le militarisme du capitalisme et de la psychiatrie face auxquels il prônait un antimilitarisme révolutionnaire ainsi que le refus de toutes formes d’autorité par anarchisme donc celui des autorités psychiatriques autant que des autorités capitalistes. Je n’y consens au fond jamais vraiment. Bonsoir à toutes et à tous, Vous avez été nombreux à nous adresser des questions. Personne ne m’a contactée pour parler de ce qui s’était passé. Votre situation de CPE est particulièrement délicate mais vous avez dû réunir un certain nombre de témoignages qui démontrent le harcèlement dont vous êtes victime. Je ne sais pas si ses actes sont faits sciemment ou de façon inconsciente : je ne sais pas si cela change quelque chose car les effets sont les mêmes. Vous nous indiquez avoir joint l’analyse des services juridiques du Rectorat. De la même façon pour savoir expliquer les phénomènes étranges bon personne ne sait vraiment mais du moins en avoir des théories et hypothèses explicatives les plus solides possibles il ne suffit pas d’avoir vécu ces expériences peu banales il faut encore avoir été cherché plus loin et s’être renseigné sur ces derniers au travers de la recherche et l’étude de travaux de gens qui ont écrit dessus avant vous. La difficulté pour vous est d’apporter la preuve de l’urgence à agir et de l’inertie qui porte atteinte à votre santé de la part de l’administration. En plus une proportion conséquente (20% minimum, jusqu’à 40% dans certains milieux) des médiums dans les communautés médiumniques où des sondages sont fait pour savoir si ils sont autistes ou non disent être autistes. Donc il faut pas juste que certains fuient les sociétés qui fonctionnent sur ce paradigme pathologique il faut aussi pour ceux qui y restent par choix ou par contrainte un mouvement militant indispensable pour au sein même de ces sociétés pathologisantes provoquer un changement de paradigme consensuel de celui actuel pathologique au paradigme de la neurodiversité donc agir de façon militante pour y provoquer cette révolution paradigmatique. Par la suite un autre personnel a dû partir pour harcèlement et moi je suis de nouveau en AT victime d’un autre personnel. Basiquement la seule raison qu’on les gens de pouvoir me croire dépressive à tort aujourd’hui c’est leur cliché sexiste qu’une femme heureuse doit aimer se coiffer et se maquiller et euh non désolée je vois rien d’autre en ce moment qui peut leur donner cette impression fausse. J'ai un pouvoir fou : De la noirceur à la lumière Vous pouvez au minimum lui demander de vous indiquer par écrit le motif du rejet de votre projet pédagogique, vous pouvez également je pense être associé avec d’autres collègues pour que vos projets soient pris en considération. º! Le rectorat (drh et médecin) a été informé rien n à été fait. Tout cela parce qu’elle savait que j’étais loin de chez moi (1h30), et que je le vivais très mal. Notamment en suivant la pensée du Dr. Thomas Armstrong qui a écrit des textes très influent à propos de la neurodiversité que cet article daté de 2017 résument fort bien mais dont les idées les plus anciennes datent de 1999 et qui me semble fort exact et plus clair donc je copie colle ce texte en le traduisant ici : https://www.institute4learning.com/resources/articles/neurodiversity/. Notamment car le sujet de l’éducation sexuelle des personnes autistes est un sujet qui tient beaucoup à cœur à la communauté autiste. Enseignante EPS dans le même établissement depuis de très nombreuses années. Sur tout ça on est globalement ok dans les trois mouvements. Les maltraitances du personnel des asiles de fous envers les « fous » y étant prisonniers étaient courantes. Moi, je casse la gueule ». sur Que suis je? La décision de refus d’imputabilité au service du Rectorat peut être soumise à un recours que vous avez exercé. Vous pouvez entreprendre des démarches auprès de l’administration pour obtenir des précisions sur cette situation mais je doute que vous puissiez les obtenir, l’administration considérant que l’affaire a été classée. Sur la question du harcèlement moral, nous vous conseillons de vous reporter aux réponses déjà apportées et de relire l’article 222-33-1 du code pénal qui définit cette infraction. Je dois faire un électro-encéphalogramme bientôt à cause de la maladie neurologique dont je suis en rémission en ce moment pour vérifier que tout va bien de ce côté là c’est dans une dizaine de jours j’admets être impatiente de voir le résultat et si j’ai ce pic d’ondes alphas particulièrement élevé ou pas. La neurodiversité n’est pas un mouvement politique ou social de militants, cela c’est le mouvement pour la neurodiversité et non pas la neurodiversité en elle même. Les neurotypiques ont le même type de relation avec les neurodivergents que les hétérosexuels cisgenres en ont avec les LGBT. Je sais faire un regard noir quand je suis énervée, je ne laisse jamais passé une remarque validiste qui me soule ce pourquoi on me traite depuis des années de chieuse tatillonne au minimum 45266265 fois par semaine, et je ne perds jamais une occasion de me défendre verbalement face aux attaques validiste subies mais force est de constater que ça ne suffit pas…la suite c’est toujours qu’on m’attaque physiquement et m’interdit de riposter…j’ai déjà gagné pas mal de ces combats physiques la plupart du temps c’est moi qui bat mon adversaire dans ce genre de situation mais voilà à chaque victoire la fin et ce qui m’empêche de me battre plus c’est toujours la même chose, la menace sérieuse de la taule ou de l’HP. On est mariés depuis presque un an maintenant c’est majoritairement que du bonheur. On peut donc dire que si il n’y avait pas encore de mouvements des individus neurodivergents et principalement autistes indépendamment les uns des autres défendaient depuis tout ce temps des idées proches de celles qui allaient devenir celles du mouvement pour la neurodiversité. Après peut être qu’au fond ces mouvements malgré leurs très fortes similitudes ne sont pas vraiment fusionnables car ils répondent à des besoins de personnes touchées par deux formes différentes de l’oppression validiste tout simplement mais je trouve ça con qu’on bloque sur le fait d’unir ces mouvements sans autres raisons que le fait que les handicapés cognitif et mentaux militants pour la neurodiversité préfèrent se réapproprier leurs diagnostics en transformant leur sens par la culture qu’ils se forment autour en luttant face à leur oppression dans un cadre où ils pensent celle ci en terme de modèle social du handicap avant tout et les personnes folles souhaitent vivre leur folie en dehors de toutes cases en la laissant radicalement libre d’exprimer tout ce qu’elle peut bien souhaiter exprimer et leur faire expérimenter comme états de conscience. Le temps est venu je crois. Si cet encadrement n’est pas assorti d’un pouvoir hiérarchique ou reconnu statutairement vous aurez des difficultés à faire sanctionner une personne qui ne respecte pas vos décisions. (Je suis en désaccord avec cette définition au sens où si c’est exact scientifiquement parlant ça exclut de la définition une part du mouvement pour la neurodiversité trop anti institutionnelle pour avoir sa place en science, la frange radicale de ce mouvement ce qui m’emmerde profondément car j’y appartiens et si elle n’existait pas je n’y aurais nulle place, une définition englobant toutes les tendances frange radicale comprise serait je pense : Le mouvement pour la neurodiversité est un mouvement social qui recherche l’émancipation des neurodivergents. Pareil pour les stéréotypies, les surcharges sensorielles, les surcharges émotionnelles, les shutdown et les meltdowns le coup de moins enclines au bégaiement que les hommes autistes ça sort de nul part et vient probablement du fait que quand il existe chez elles on l’attribue plus souvent à une supposée timidité tandis qu’on le repère plus comme bégaiement chez les hommes autistes.
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